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Loading...Dans cette première partie de roman, j’expose un monde post-apocalyptique qui est le fruit de la victoire des nazis et de la destruction du monde qua engendrer la 3ème guerre mondiale. Ces un monde dur,violent et cynique ou ces constitué quelques villes malgré tout. Bâtit par les survivants,ville smog est une ville usine. Paroxysme du machinisme, elle est constitué dune communauté pauvre vivant sous le joug de Théodore Feu-damour.Vous suivrez le quotidien de Davos et de son fils Brian.Seul distraction: le cabaret tenu par l’exécrable Mr Loyal.Véritable jeux du cirque, il est la catharsis des habitants de Smog-ville. Ce roman se veut la représentation des vices de lhomme face a lamour dun père et dun fils.
Davos: -Fait trop chaud là-dedans et faut vraiment que j’y aille, grommela Davos a mi-mots. Quittant les machines et ses innombrables rouages, Davos se dirigea vers la sortie. Trempé de sueur, il passa dans la salle de désinfection de l’usine puis se changea pour revêtir ses pauvres haillons. Une fois sur le palier, il eut à sa guise l’occasion d’observer la ville, sa ville. Cette dernière était d’une pauvreté…non pas qu’économique mais aussi visuelle. Ce n’était qu’un amas d’usine, de scierie, manufacture et de bidonville. Ell ...
Le cabaret de Smog-Ville de Diogène de Saint-Pry est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Utilisation commercial interdite - Modification interdite. Partage autorisé.
Tellyon
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Je te remercie pour ton soutient et excuse moi d’avoir mis autant de temps a répondre(les études sa prend du temps). Pour tes questions, c’étais la première fois que je j’écrivais « sérieusement » et je voulais voir de quoi j’étais capable de faire en une semaine. Les vacances aidant, j’avais tout le temps pour me consacrer a mettre sur papier ma vision du monde dans un texte. J’avais déjà écrit 2-3 trucs étant plus jeune, mais aujourd’hui, a 17 ans, c’est la première fois que j’expose mon travail sur le net. Et oui mettre le nom des protagonistes en tète de chapitre est volontaire. Je ne voulais pas utiliser un point de vue omniscient, bien trop commun, mais plutôt un point de vue intérieure pour tous les personnages(les meilleures comme les pires). Par dessus tout je veux absolument éviter d’imposer une vision manichéenne: « les bons petit gentils contre les méchant pas beaux. » Je veux surtout montrer que rien n’est blanc ou noire, mais que tout n’est que contraste, qu’on a tous une part de gris en nous. Je recommence actuellement a plancher sur la suite de l’histoire, tout en cherchant ou je peux mener mes personnages sans ennuyer le lecteur. Tout ce que je peux prédire c’est que, malgré certain reproche, je n’abandonnerais pas le coté cynique/amoral/violent au profit d’une histoire terne destinée a toucher un plus grand public. Amicalement. (PS: tes conseils sont les bienvenus.)
OMG cette claque ! Je n’en reviens pas de ce que j’ai pu lire dans ton roman. J’espère que les chapitres suivants vont vite arriver car je n’ai envie que d’une chose: voir ce Mr Loyal et tous ces fumiers qui se délectent à la place des enfants dans l’arène.
Tu as très bien résumé la bêtise humaine. Le pire, c’est que cela existe déjà. Regarde les émissions de télé réalité japonaises ou américaines. La décadence de l’humanité sous couvert de « société moderne »…
On va tout droit là dedans. Pas besoin d’Hitler ou de la Théodore. A ce rythme, nous connaîtrons sûrement cette société horrible avant de mourir.
J’aime beaucoup ce genre d’écrits: anticipation, post-apocalyptique, uchronique…
Et puis, ton style est plutôt bon donc ça encourage la lecture, ça la rend fluide.
Seuls petits inconvénients: attention à l’accord en nombre des noms communs (« les usineS »).
Et aussi, pourquoi nommes tu les parties de ton chapitre par les prénoms des protagonistes principaux. C’est peut-être volontaire mais c’est vrai que j’ai bugué au début. Enfin, si cela fait partie de ton style, je m’y habituerai 😉
En résumé, j’ai vraiment aimé ce chapitre. Je ne sais pas quel âge tu as ni depuis combien de temps tu écris. Mais je peux te dire qu’il y’a un bon potentiel là dedans. C’est déjà pas mal du tout rien qu’au premier chapitre et je pense que ton style sera de mieux en mieux au fil des chapitres. Ton épilogue frôlera le génie à ce rythme.
PS: Si tu aimes les textes engagés ou d’anticipation, je te recommande de lire SECTION FEERIA (rubrique Fantasy). Oui, c’est mon livre, je fais un peu de publicité ahah. J’aimerai avoir ton avis car, sous couvert de Fantasy, j’aborde des thèmes d’actualité que tu reconnaîtras peut-être.
Artistiquement,