Je m’appelle Nahomi. Fille de Mira et de Jarid. Mes parents effectuaient ce que l’on appelait de l’agriculture et cultivaient la source de vie de toute Kému. Le blé a toujours été leur spécialité. Ils m’ont tout appris sur la façon d’on le cultiver et c’est avec joie et fierté que je poursuis leur vie à travers la mienne, après leur mort il y a 5 ans. Le travail est difficile, mais je m’en sort comme une chef je trouve. Je vie, je tourne, j’apprends des mes erreurs. Et je conte bien continuée à livrée du pain frais au 7 pays de Kému jusqu’à ce que je meure moi aussi.
Je m’étire difficilement à 5 heure du matin. Dur dur de sortir du lit ! Je soulève mes draps rapiécé de toute les couleurs et dévoiles mes jambes fine et pale. Un pied, puis l’autre touche le tapis de ma chambre. Il est doux ; réconfortant. Je baille, la gueule grande ouverte. Tourne la tête, me la gratte et me lève enfin. J’ouvre grand la fenêtre et laisse la fraîcheur et l’odeur de la rosé du matin me traversée et entrée dans ma chambre. Je frissonne. Ma chemise blanche de nuit ne me suffit pas pour sortir. Je me déshabille en écoutant le gazouillement des oiseaux et sélectionne une tenue pour le travail. Mes collants fin glisse sur ma peau, ma robe couleur miel me tombe au dessus des genoux, mes cheveux châtain claire sont attaché et relevé par un élastique noir. Quelque mèche rebelles se glisse à l’avant de mon front et de parte et d’autre de mon visage un peu fatigué par le réveil. Mon petit nez retroussé et recouvert de taches de rousseurs se redresse en pensant à l’odeur des croissants bien cuit que je vais devoir sortir du four. Mes yeux noisette détail dans ma mémoire le trajet habituel que je vais devoir effectué et mes pensées me ramène aux vieux conseils de mon père. Je me secoue. Non mais la nostalgie c’est plus pour les gamin de 15 ans ! Je passe la porte et me penche pour attrapé à la volée sans ralentir, mes ballerines et mon tablier poussiéreux que j’enfile rapidement en pénétrant dans l’arrière salle. Le sourire aux lèvres, je m’engage dans mon métier pour lequel j’ai été entraînée depuis mon plus jeune âge. Et en sort seulement 5 heures plus tard. Tout est près. Je charge les sacs remplis de pains bien cuit et encore odorant. Je monte dans la charrette et le cheval hennis avant de commencer son long parcourt jusqu’à l’industrie de redistribution à laquelle je me rend tout les matins sauf les week-end ou la j’y vais le soir. Le paysage défile tranquillement sous mes yeux. La campagne et la nature redonne une énergie qui n’en vaux aucunes autres et le parfum des fleurs des champs vous rend heureux à en sautez de partout. La solitude ne m’a jamais atteint, malgré l’absence de ma famille, mon environnement a toujours comblé le manque.
Une fois arrivée, je signe le papier confirmant la livraison et offre quelques viennoiseries à la personne qui réceptionne mes pains avant de repartir, le cœur léger chez moi, pour continuer à préparer la patte et les fournées que j’irais livrer demain matin. La charrette bascule d’un coté à l’autre, tirée par le vieux Pierrot, le cheval de ma mère. le bruit de ses sabots irrégulier qui frappe le sol me rappelle que lui aussi va bientôt me quitter. Le pauvre ne tiendra plus debout d’ici 3 mois…
Je l’encourage à avancé d’avantage, tout en regardant le paysage bougé sous mes yeux. Le vent glisse sur ma peau, caresse mon visage et soulève mes cheveux tandis que j’inspire profondément cet air si familier à mes narines. Une fois arrivée à destination, je rentre Pierrot dans son box, laisse la charrette sur le bord de la route et rentre chez moi. Je soupire en fermant la porte puis me dirige vers la cuisine ou je fait chauffé de l’eau, puis trempe quelques herbes dedans. Je sirote mon infusion devant la fenêtre ouverte du salon pendant quelques minutes avant de me décidée de retourner travailler. Je resserre mon élastique puis me met à mélanger les ingrédients sur mon plan de travail et les malaxent. Je met en forme, recommence une autre pâte, fait cuire, range dans des compartiments, remets les sacs de livraison à leur place et cela jusqu’à 17 heures. Je m’assoie sur la chaise en m’affale sur la table en bois. Je n’ai même pas eue faim de l’après midi. Je soupire. Je vais enfin pouvoir me reposer…

Une lourde douleur me prend à l’épaule droite. Que ce passe t-il ? Je me redresse, je suis tombée en dormant. Pouah ! Je tousse. Je n’arrive pas à respirée. Bon sang mais que ce passe t-il ? De la fumée noire me cache déjà je plafond de mon salon. Pourquoi ? Je me lève rapidement. Le feu viens du toit ! Je ne peu rien faire ! Il faut que je sorte un maximum d’affaires avant que tout ne brûle !
Je prend la photo de mes parents et la range dans ma poche. Cour dans ma chambre et jette mes vêtements par la fenêtre. Oh non ! Les dessins de ma mère ! Il me faut les sortir de la ! Et le journal intime de mon père !
Je me précipite vers la porte de leur chambre mais m’affale sur le sol. Je me suis prise les pieds dans le tapis. Je tousse encore. Si je me relève, c’est la fumée qui me tuera. je me met à ramper et pousse la porte. Les dessins de ma mère ne forme plus qu’un ta de cendre. Je ne peu rien en tiré. Mais le journal de mon père lui, est toujours intact sur la commode. Pas le temps dé réfléchir. Je me lève, cour et le saisis avant de faire demis tour. Une partie du toit manque de me tombé dessus et me bloque la sortie. Il ne reste plus que la fenêtre. Je cour, saute et brise les carreaux avant de roulé par terre, le dos en miette. Pourquoi le feu a t-il prit ? Je ne fait jamais chauffer de fournée quand je termine le travail du midi. Et le soleil n’est pas suffisamment fort pour provoquer un incendie à cette période. Je ne comprend pas, les pensées se bouscules dans ma tête alors que je reprend mon souffle, à quatre pattes devant ma maison en flamme. La fumée du feu et sa lumière me pique les yeux. Ils se remplissent de larmes. Je n’ai rien pue faire ! Comment est ce possible !
Je pleure mes pertes et mes vêtements éparpillés autour de moi. Je pleure car j’ai encore Pierrot qui est resté sagement dans le box qui par miracle, n’a pas brûlé avec le reste. Mais j’ai au moins pue sauvé un souvenir de mon père, ce journal que jamais je n’ai encore osée ouvrir, mais qui sera mon seul réconfort pour me reconstruire.
Je me relève, secoue ma robe et m’apprête à ramassez mes affaires éparpillés mais me stop de suite en me redresse en serrant fort contre ma poitrine le précieux journal, tout en regardant arrivé puis tournoyé des chevaux noir du pays de Nècre. Que font-il ici ? C’est pourtant les Lumnon qui s’occupe des contrée reculée comme la mienne. Avec leur air menaçant, les montures des soldats ralentissent puis un cavalier descend et se plante devant moi tendit que ses sous fifres descendent à leur tour. Ils se taisent tous. Ils n’ont pas besoin de parler pour exprimé leur hostilité. Je recule, intimidée. Soudain, je me rend conte que la suie m’a salie des pieds à la tête. Mais je me concentre vite sur mes assaillants.
– petite, ou sont tes parents ?
– Ils sont morts et vous avez faillie me brûlée vif !
Insinue tu que c’est nous qui somme responsable de l’incendie ?
– Il n’y a que vous dans les environs et il n’y a jamais eue d’incendie dans cette région !
– Tu est maligne.
Il me jaugea un moment, comme si il cherchait quelque chose chez moi qui pouvais le satisfaire. Cette idée me fit frisonner de peur. Il tourna autour de moi, et je me fis aussi petite que possible, me recroquevillant un maximum pour échapper à ce regard jugeur désagréable. Il resta un long moment derrière moi. Puis d’un coup, les deux gardes me saisirent par les avant bras et me firent m’agenouiller devant leur chef.
– on l’embarque. Elle n’est pas en mauvaise condition pour travailler.
– Quoi ?
M’embarquer ? Mais ou sa ? Je ne veux pas partir ! Non ! Lâchez moi !
– je ne veux pas partir !
J’avais hurlée sans m’en rendre conte. Ils avaient cessés de me tirer vers leurs montures. Leur commandant s’approcha lentement.
tu va venir avec nous.
– Non je ne veux pas ! Vous n’avez pas le droit !
Il sembla en colère suite a ma réflexion. Il se pencha et approcha son visage à quelques centimètres du mien.
– vois tu, une guerre viens d’éclaté entre le pays de Nècre et le pays de Lumnos. Nous avons besoin de mains d’œuvre pour créé des armes qui serons capable de les anéantirent jusqu’à ce qu’ils admettent qu’ils sont injuste avec leurs lois !
Vous n’avez pas confiance en eux !
– En quoi la confiance a avoir la dedans ?
– Le rôle des Lumnon est de créer des lois qui puissent être le plus juste possible ! Il y a forcément quelque chose de mal fait dans leur travail, et c’est pareils chez chacun de nous ! Seulement vous, vous êtes injustes parce que vous vous autoriser le droit de les anéantirent pour sa ! Pour leur erreurs ! Dite moi ce qui est juste la-dedans !
Je donne tellement d’arguments que je ne me laisse plus respirée. Il ne dit rien. Je ne vois plus ses yeux, ni son regard. Il se contente de me tourner le dos et de prononcez : « on l’embarque ». il ne tien pas conte de ce que je lui ai dit. Les gardes me traînent au sol comme un sac de provision et me pousse contre le sol avant de me ligoter fermement et sans ménagement.
– assommez la ! Je ne veux pas entendre ses paroles compromettantes pendant le voyage.
L’un des garde brandi un galet au dessus de ma tête.
– hein ! Quoi ? Non attendez ! Non !
Douleur. C’est le seul mot qui me viens. Puis le trou noir.

63