Une jeune sorcière est à jamais avec les animaux. Toutes ces bêtes qui survivent, au centre d'un château, où la loi n'est pas abolie. Elle demeure cachée parmi les cents autres victimes, sa sorcellerie tant recherchée, pour qu'on la punisse et la supprime, et qu'elle rejoigne les cents autres dépravés. Elle n'est qu'une créature de Dieu. Le cœur divin, l'esprit serein. Une création divine. Pourquoi la tuer ? « Tuez-moi cette sorcière ! La monstrueuse traîtresse. Qu'elle ne revienne sur ces terres. » Avait crié l'Altesse. Fiction fantasy, médiévale. (21 chapitres prévus)
À Balbea, dans un vaste royaume, reposait une magie interdite. Les légendes sont racontées par les vieillards et crues par des enfants. Tandis que ceux qui renient la féerie et la nécromancie se dissimulent. Le village n'est guère bouillonnant et productif ; les ressources ont diminué et le commerce s'affaiblit. Le seigneur est au courant de tout, et cela le rend effaré. Depuis enfant, il maudit la magie et fait son possible pour l'éloigner de ses terres. Mais la magie est une force tellement puissante, pouvant éliminer n'importe qui. Elle a donné naissance aux elfes : les pires ...
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Alors, mes remarques sur ce premier chapitre :
* de tuer toutes personnes suspectées => toute personne suspectée
* Il avait chassé cette profonde pitié dans son cœur => pas sûr de comprendre
* que le seigneur décidait de signaler son peuple => pas compris. Dénoncer ? Pourquoi ?
* Ils espéraient les apeurer => il espérait
* assistions à l’exécution de nombreux scélérats, suspects de pratiquer la magie => plutôt condamnés que suspects, à ce stade, non ?
* quand on la magnait mal => maniait
* Il était même connu par les elfes, c’était un allié pour eux et un traître pour son père => je comprends ce que tu veux dire, mais cette tournure laisse penser que son père est au courant.
* et qu’il ne prendra jamais la place du trône => prendrait
* Même les plus petits, les plus susceptibles, devaient assister à cet abominable spectacle => je ne crois pas que susceptibles soit le bon terme. Tu veux dire sensibles ?
* Grâce à son regard précis => perçant ?
* Il n’avait pas à s’enfuir comme un loup => s’enfuir comme un loup, je connais pas. J’imagine un animal moins « noble » pour cette comparaison. Détaler comme un lapin, qqe chose de ce genre.
* Le peuple n’a pas ce droit => n’avait
Sinon, j’aime bien ce que tu mets en place et je suis curieux de lire la suite 😉