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Loading...Le royaume d'Arcalie pleure son général. Alors que le pays réapprend à vivre libéré du joug des puissants Atraqses, cette mort inquiète le roi et ses proches. Qui est l'auteur de ce forfait ? Un nom resurgi du passé est sur toutes les lèvres : Rokran dit le Titan. Au même moment, Beryn, un jeune chasseur au franc parler, décide de poursuivre les mercenaires qui ont attaqué son village et capturé celle pour qui son cœur bat. Sur sa route, il va croiser un vieux tailleur de pierre aigri et drogué du nom d'Isan. Ensemble, ils vont arpenter un monde que l'un ne connaît pas et que l'autre ne reconnaît plus. Et chacun va découvrir ce qu'est la vraie sève du pouvoir ...
La main de Samös se resserrait autour du pommeau de son épée. Il la tenait de son père, qui lui-même la tenait de son père. Cette arme avait connu la Symbiose puis la grande révolte et l’incendie. Pour le jeune soldat, cette épée était son héritage et son bien le plus précieux. — Du calme, Sam. On n’est pas encore face à eux. Il tourna le regard vers son ami Jek, qui arborait un large sourire. Contrairement à Samös, c’était un garçon très confiant et pour lui, cette mission n’était qu’une simple aventure. — Ces types ne doivent pas nous intimider. Ce ne sont ...
La Sève du Pouvoir – Tome I : l’Ombre du Titan de Denis Vergnaud est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Utilisation commercial interdite - Modification interdite. Partage autorisé.
Tellyon
3 commentaires Ajouter le votre
Merci pour vos retours, je prends note de la longueur de ce prologue. Certains apprécient, d’autres moins. Une réflexion s’impose 🙂
hello!
Je trouve que c’est trop long pour un prologue. Tu gagnerai à le raccourcir, je pense. Pour moi un prologue, ce doit être très court. Après ce n’est juste que mon avis, peut-être que d’autres aiment les longs prologues! 😉
Sinon j’aime bien, c’est prenant. Il y a du rythme.
Salut, me voici par ici !
avaient fait preuve d’une cruauté sans nom. (et tout ce petit paragraphe en fait)=> je ne ressens pas la cruauté, quels sont ses réactions à ce souvenir, ces émotions ? Ca manque de vivant je trouve.
Irilin, le roi d’Arcalie => je donnerais seulement son titre ici, son nom alourdit la phrase et je ne crois pas que beaucoup de lecteurs vont s’en souvenir. Tu introduits déjà pas mal d’éléments.
La centaine de soldats marchait d’un pas cadencé, en une seule colonne. (et tout ce paragraphe) => c’est assez haché au niveau du style car tu utilises la même construction de phrase. Ca manque aussi de ressentis, un coeur qui se serre, un regard perdu, quelque chose qui nous montre à quoi ressent le personnage.
Le visage d’Ervas était devenu cramoisi, une veine saillante apparut sur son front. => ça c’est sympa, parce que je devine ces émotions. Je pense que ça serait mieux si tu utilisais davantage cette méthode. Jusque là, je trouve que c’est assez froid émotionnellement parlant.
son œil unique scrutait son ennemi semble à un géant. => semblable ?
Je trouve que pour un prologue, c’est long. Ce n’est que mon avis ! Je crois que tu veux trop nous en dire qu’un coup 😉 La fin est intéressante, mais elle arrive un peu tard
Pour moi, points positifs : dialogue assez vivant, style simple, intrigue plutôt intéressante, bonne orthographe
Points négatifs :
– trop de verbes faibles pour moi (être, avoir, faire, s’agir…) : le style devient assez pauvre, ça manque de belles phrases et de poésie (encore une fois, à mon goût)
– trop de mais en début de phrase : d’après une prof de linguistique que j’avais eu c’est pas très correct. Selon moi, dans les dialogues un peu ça va, mais là je trouve que ça fait beaucoup.
– et pas assez d’émotion : comme je l’ai expliqué plus haut
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