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Loading...Encore mal partout, ce sofa n’a jamais été prévu pour cette utilisation. Trop petit et trop étroit, j’y dors en boule, comme un chat. A la différence qu’eux sont des animaux souples alors que je dois avoir la souplesse d’une barre de titane. Mon totem c’est le loup... pas un félin à deux balles. Ensuite ben rien que de tres normale, ma mere depressive, ma petite amie envahissante et le reste de ma vie universitaire en Thailande. Ah oui, y'a Nestor aussi... le fantome qui a decide de hanter l'apart qu'une amie m'a laisse pour la semaine.
Encore mal partout, ce sofa n’a jamais été prévu pour cette utilisation. Trop petit et trop étroit, j’y dors en boule, comme un chat. A la différence qu’eux sont des animaux souples alors que je dois avoir la souplesse d’une barre de titane. Mon totem c’est le loup... pas un félin à deux balles. Enfin... tout ca pour dire qu’a peine je me lève, la journée s’annonce mal. J’ai longtemps pensé que le pire pour commencer une journée était de ce demander “pourquoi faire?” en lieu de première pensée. Maintenant je sais, non seulement je me le demande tous les matin ...
Le Sorcier de Kryss Massalia est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Utilisation commercial interdite - Modification interdite. Partage autorisé.
Tellyon
4 commentaires Ajouter le votre
Bonjour, et encore merci pour le temps que tu me consacres.
Pour les fautes d’orthographes, pas de problèmes, j’ai écrit « le sorcier » il y a quelques années et ne me suis pas relu avant de poster. Comme indiquer dans mon premier commentaire, je vais travailler dessus.
Pour l’espace entre les paragraphes, oui, j’apprends encore à utiliser le site (j’ai encore deux autres nouvelles à publier).
Les deux/trois premiers chapitres servent surtout à donner une idée du personnage, et de la manière dont il perçoit les gens et le monde autour de lui, à ce moment il n’y a aucune raison d’impliquer le surnaturel, ce dernier n’est qu’une des forces en présence, une sorte de catalyseur.
Imagine la plupart des histoires surnaturelles racontées au jour le jour par les protagonistes eux-mêmes, je doute qu’il y ait beaucoup de gens qui pensent « Tiens? Et si je me faisais posséder par un démon majeur aujourd’hui? On pourrait inviter un curée et vomir contre les murs… »
Je voudrais cependant prévenir que le sens de l’humour décalé et cynique est pleinement assumé, je comprends entièrement qu’il ne soit pas au gout de tout le monde.
Toutes mes excuses, je n’ai pas pensé à regarder s’il y avait d’autres chapitres ; un moment de distraction, encore désolée.
Néanmoins, pour rebondir là-dessus, je trouve que le premier chapitre ne laisse rien présager de la nature fantastique du récit. On a en gros un long chapitre qui ne nous raconte rien à part la vie du personnage. Cela peut être décourageant pour le lecteur. Mais ce n’est qu’une suggestion…
Pour le style, ma foi le « je m’en foutisme » peut transparaître à un certain niveau, il faut juste que le tout soit compréhensible à la lecture et donc être harmonieux malgré tout. Par contre, les fautes d’orthographe ne sont, elles, pas tolérées même si c’est dans la nature du personnage.
Juste un dernier détail : pense à espacer tes paragraphes, les blocs de texte ont tendance à faire fuir les lecteurs.
Voilà, encore navrée pour la méprise.
Bonjour,
Merci de votre commentaire et du temps que vous m’avez accordé.
Le style est surtout dû au personnage (universitaire un peu je m’en foutiste), les fautes d’orthographes aussi. Cependant cette critique peut être admise, je rééditerai le texte dans cette optique.
Cependant et sans vouloir apparaitre pédant ou méprisant, le surnaturel et le lien avec le titre apparaissent tous deux assez évidents lorsqu’on a lu le texte en entier. Ensuite j’en conviens il est possible que l’histoire ne soit pas au gout de tous et il peut y avoir d’autres raisons pour ne pas le terminer (il y a, c’est vrai, certaines références peut être assez obscures pour ceux qui n’ont jamais vécu en Thaïlande), cependant donner un avis général sur un texte sans l’avoir lu en entier ni l’indiquer me semble quelque peu injuste pour l’auteur, et pour ceux (rares peut être) qui pourraient apprécier l’histoire.
Dès le début de la lecture, on constate beaucoup de fautes d’orthographe, des problèmes au niveau de la syntaxe ainsi que des lourdeurs. On a une association de phrases courtes et de phrases longues, voire très longues qui ne vont pas en faveur du rythme, qui en devient décousu.
Beaucoup de être et avoir qui pourrait facilement être remplacé.
Sinon, je ne vois pas où se situe l’aspect fantastique de cette nouvelle, ni le rapport avec le titre. Cela ressemble plus à une entrée d’un journal intime qu’à un récit fantastique.
Bref, il me semble qu’une bonne correction s’impose.