Un vieil homme à la recherche de ses souvenirs perdus dans son village natal. Avec en fond sonore, la douce musique de l'océan. J'espère que vous prendrez autant de plaisir à le lire que j'ai eu à l'écrire.
Il y a quelques années, sur une plage, j’ai rencontré un vieil homme. C’était en hiver. Il était assis, tête baissée. Sans raison particulière, je fus attiré par cette silhouette étrange et étrangère. Le vent soufflait violemment et une fine bruine salée mouillait mes lèvres. Je me suis assise, j’ai délacé mes chaussures puis enlevé mes chaudes chaussettes. Mes pieds semblaient heureux de se retrouver ici. Ils s’agitaient lentement, s’enfouissant peu à peu sous le sable. Les vagues étaient hautes et rugissaient en roulant sur elle-même. Le vieil homme avai ...
Anaita de Arod est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Utilisation commercial interdite - Modification interdite. Partage autorisé.
12 commentaires Ajouter le votre
Merci pour toutes tes remarques Marie. J’en tiendrais compte dans de futures modifications! 🙂 C’est vrai qu’il y a trop de « il » et de « elle »! Je vais revoir tout ça, j’ai fais très peu de changements dans les premiers chapitres. C’était presque que du premier jet. Merci:-)
Chapitre 3, me voilà !
– La description au début fait assez artificielle, je pense que tu peux faire mieux !
Autrement, je dois dire que j’ai été moins emballée. J’ai moins ressenti et j’ai l’impression que la poésie de ton style se perd…
Bon, je continue sur le chapitre 4
» Alex se sentit désorienté quelques instants. Il se redressa et resta assis au bord du lit, la gorge serrée, il posa les pieds sur le plancher. Il frissonna. Il était froid. » => je crois que ce passage gagnerait à être davantage décrit pour qu’on ressente mieux les émotions. Par exemple, ne pas dire qu’il a froid, mais le montrer en parlant de sa peau sensible, en décrivant les frissons…
« Il s’éveilla seul, ce n’était qu’un rêve. […] Il pleurait. Il renifla et se frotta les yeux. » => ici il y a trop de « il » et de construction de phrase identique, du coup, pour moi, ça appauvrit ton texte
Même chose avec les « elle » pour le paragraphe « Chambre Angeline: »
– « voilà qui est étrange. Pensa-t-elle. » , pensa-t-elle. ?
Au niveau de la forme, je retrouve ta poésie sur le passage « Jonas », ça c’est chouette !
Pour ce chapitre 4, j’ai un peu du mal avec le fait qu’on quitte le personnage d’Alex, ça me fait sortir du récit.
Voilà pour moi 😉
Les fameuses virgules! Je dois être allergique! 😉
Une nouvelle fin à ce chapitre? Pourquoi pas! Je vais y réfléchir.
Merci Marie pour toutes remarques toujours constructives.
A bientôt.
Je viens de lire le chapitre 2. Toujours aussi fluide, peut-être pourrais tu développer un chouia les ressentis, mais c’est du détail.
J’ai remarqué qu’il manquait quelques virgules :
Enfin, si je le sais (virgule)
Le chef de gare hoqueta un instant (virgule)
Aussi, Anaita n’est pas orthographié pareil dans le titre du chapitre et dans le corps du texte, mais c’est encore du détail.
Autrement, je trouve que tu pourrais rendre la fin de ce chapitre plus prenante, plus poétique. Je suis un peu restée sur ma fin sur ce chapitre. Je crois que cela vient du fait que je trouve la dernière phrase lourde dans sa deuxième partie. Pourtant, il me manque pas grand chose !
Tiens moi au courant si tu postes une nouvelle version de la fin (via Twitter par exemple), je la lirai avec plaisir !
A bientôt !