C'est la fin du monde. Un trou noir s'approche de notre belle planète, dévorant la gravité et nos cieux étoilés. Il n'y aura bientôt plus que la peur, des hurlements et nos dernières prières. Il n'y aura plus de place pour mes sentiments qui s'amoncellent et me déchirent déjà. C'est la fin du monde. C'est ma fin qui vient.
La nuit abyssale était tombée depuis quelques heures déjà. On avait tous entendu des rumeurs, il y aurait peut-être un passage dans peu de temps. Comme toujours, il était impossible de dire quand exactement le phénomène surviendrait. Cela faisait longtemps que rien ne s'était produit. Bien trop longtemps. Nous étions en sursis, la peur nous tannait, car nous avions la certitude que c'était pour ce soir, que c'était pour bientôt, et que c'était inévitable. Ils nous talonnaient. Leurs ombres étaient à nos trousses. Chaque seconde qui passait les voyait se rapprocher de nous, ...
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@jasper Merci du retour ! Effectivement il y a des choses à reprendre, j’ai tellement lu, relu et réécrit que je ne vois plus grand chose à corriger et ton avis me permet de revoir ce qui cloche. Je vais me relire et je reviens !
J’ai bien aimé ce chapitre 2. La description de la course poursuite est prenante, ça rend le personnage de Cup attachant 🙂
Chapitre 1 lu. Le mélange 3ème personne / 1ère personne est très très déstabilisant. Perso, ça me paume beaucoup :/
Sinon :
* L’après-midi se terminait et la joie des jeunes, qui allaient travailler pendant encore trois bonnes heures, était très mal contenue => ça laisse penser que les jeunes sont contents parce qu’ils vont travailler encore 3h. Alors que j’imagine que c’est parce que l’après-midi se finit (ce qui est dit + loin)
* Les trois étudiants se nommaient Cassia, Jylian et Cup => tu les as déjà présentés en les mettant en situation (ce que j’ai aimé), pas la peine de les nommer comme s’ils étaient des inconnus :p
* Sauf exception faite lorsqu’elle était avec ses deux amis => Sauf ou exception faite, choisis ton camp 🙂
* Comme les trois doigts de la main braillait Cup complètement bourré dans un sursaut d’intelligence. => « avait braillé » ? Sinon, on dirait qu’il est en train de le faire
* Mais sa litanie fut vite interrompue par une prise de parole inopportune. La pièce dans laquelle ils se trouvaient semblait servir d’entrée => c’est déstabilisant que tu nous dises qu’il y a quelqu’un qui parle, surtout qu’il/elle interrompt, et que tu partes dans une longue description de la pièce.
* Y’a Couinsec qui te fait les yeux doux Cup ! fit remarquer Cassia => jeu de mots (que j’ai pas compris) ou faute de frappe sur le nom de la réceptionniste ?
A part ça, j’aime bien ce trio de personnages, l’ambiance des étudiants dissipés et la description de la bibliothèque. Mon frein principal est vraiment ce changement de point de vue qui ne me permet pas de savoir comment me situer.
Prologue lu. J’ai eu un peu de mal à me situer pour une raison très conne : le perso mystérieux qui parle de temps en temps de lui, mais plus souvent de « nous » sans jamais rien dire qui est avec lui, où il va, etc…
Ça m’a fait l’effet d’être un peu trop chargé dans le registre « mystérieusement mystérieux », si tu vois ce que je veux dire. Après, ce n’est « que » le prologue, donc ça m’empêchera pas de lire la suite (ou plutôt le début) de ton histoire 🙂