William Harper se trouve en Egypte, mais il va être plongé dans un monde qu'il ne maîtrise pas et que la raison ne peut contrôlé. Le sang-froid et le frisson seront ses alliés. Entre vie, mort et au-delà, il ne peut y avoir de fin heureuse. Anubis, gardien des morts veille.
Nous sommes au vingtième siècle, en Égypte, en Haute-Égypte pour être précis. En cet été 1962, le soleil a durci le sol, le Nil est au plus bas, les paysans égyptiens restent dans leurs demeures. Mais, un cavalier solitaire, logeant au village de Berber, sur la rive est du Nil, se dirige vers le désert de Nubie. Ce jeune homme est habillé d’un jean usé, une chemise en coton blanc et un chapeau de feutre mettant sa figure à l’abri de la sécheresse; ce chapeau laisse deviner des cheveux bruns et des yeux bleus pâles. Le cavalier arrête sa monture, il sort une carte, regarde u ...
Egypte ancienne de Le Chevanton Céd est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Utilisation commercial interdite - Modification interdite. Partage autorisé.
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Merci pour le commentaire, ainsi, j’ai pu apporté des modifications.
Bonsoir Céd, je commence la lecture de ton histoire, la partie du résume contenant « Anubis, gardien des morts veuille » m’a convaincue ! J’ai relevé quelques chipotages que je te donne en commentaire :
« William posa son regard sur un groupe de palmiers qui semblait cachait un rocher brun. » le verbe cacher ne doit pas être conjugué.
« William ne comprenait pas, mais l’heure était de rentrer, » ou plutôt : c’était l’heure de rentrer (pour fluidifier)
« William fuya vers le désert, il n’eut aucun mal à les distancer, la plupart était plus petit que lui, ils avaient donc des jambes plus courtes et faisaient donc des enjambées moins grandes. » l’adrénaline donne des ailes 😀
« Méfiant, il s’approcha et bût un peu d’eau. » mais il ne se pose pas beaucoup de questions…
« Bonjour voyageur, je vois que le dieu Sobek, le juste vous a guidé. » Il y a des problèmes de virgules ici : Bonjour, voyageur. Je vois que le dieu Sobek, le juste, vous a guidé.
ou : Je vois que le dieu Sobek le juste pour a guidé -> si Sobek le juste est un titre complet.
Le voyage se passe très vite ! Nous avons à peine le temps de comprendre ce qui arrive aux deux personnages. Par ailleurs, je trouve que notre sauveur accepte beaucoup trop rapidement son lourd fardeau, comme si tout cela était parfaitement normal.
Par ailleurs, je n’ai pas compris la dernière partie du chapitre : il doit être enfermé, puis marche dans le désert pendant deux jours, puis est de nouveau enfermé ? Tout ceci est très obscur, j’ai du mal à visualiser les actions du personnage et le temps. Je pense que cette dernière partie devrait être plus étoffée pour que l’on comprenne bien tout ce qui s’y produit. William semble faire des bons dans le temps ou l’espace, mais ça reste flou.
Ce chapitre est très dense et certains points mériteraient d’être développés pour nous aider à rentrer complètement dans l’univers. En tout cas, le style est fluide, on avale les mots sans encombre. C’est agréable à lire. J’ai envie d’en savoir plus sur cette histoire de sauveur et la mythologie des dieux que tu décris.
Désolée, mon commentaire un peu long… mais j’espère qu’il pourra t’aider et te donner envie de poster la suite 🙂