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Loading...Erwin et Argon sont mercenaires pour le monastère de Whus, les moines du Savoir. Le premier est léger et use de la magie des rêves, le second est un guerrier puissant. Entre collecte de la magie des démons et escorte d'une expédition d'étude, ils vont se révéler au cours de l'aventure.
Alors que les derniers rayons du soleil éclairaient encore le fond de la grotte, un homme en émergea. Un grand vêtement bouffant habillait de sa soie grise son corps. Sa maigreur était perceptible à la taille, marquée par une mince ceinture. A ses pieds, de légères bottes de cuir noir, poussiéreuses. Les fins cheveux blonds tombaient sur ses épaules en boucles légères, encadrant un visage étroit. Deux fins arcs de cercles d'or soulignaient ses yeux, des ailes du nez jusqu'aux tempes. Le métal tranchait sur sa peau, objet dur serti dans la chair blanche. Il porta sa main à ses là ...
Erwin le rêveur de Cédric Girard est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Utilisation commercial interdite - Modification interdite. Partage autorisé.
Tellyon
12 commentaires Ajouter le votre
Oui, je pense aussi repasser un coup si l’occasion se présente pour unifier un peu, prendre en compte toutes les remarques (enfin les quelques remarques ;-)) et en faire un « vrai » roman. Mais m’est venue une idée de préquelle sur Argon, elle passera peut être avant, qui sait.
J’écris comme toi pour le feuilletonnant, mais je ne m’interdis pas de repasser une couche une fois l’oeuvre finie (mais si j’y arriverai à la finir, auto-persuasion :p). Du coup, j’ai tendance à considérer ce type d’écriture comme un roman malgré tout.
Ce sera en tout cas très intéressant de suivre ton oeuvre 😉
C’est, et ce n’est pas tout à fait.
C’est un roman au sens où sa taille totale devrait dépasser les 50.000 mots, d’après mes prévisions (et 50.000 mots, c’est le nanowrimo, donc ma référence ;-))
Ce n’est pas tout à fait, à cause du défi de feuilleton que je me suis donné, et de la taille des « chapitres » : un texte de plus de 500 mots chaque semaines (je suis plutôt entre 600 et 800). Et clairement on n’écrit pas la même chose pour un texte écrit puis corrigé d’un coup, et un feuilleton écrit, corrigé et publié au fur et à mesure.
Ah ce n’est pas un roman ? Qu’est-ce alors ?