La renaissance d'Athéna est une nouvelle philosophique, un récit initiatique et un voyage en Grèce et ailleurs. Entre mythologie et réflexion sur la religion, des questions se posent. Comment les Dieux jugeraient-ils le monde ? Pourquoi Athéna renaît subitement ? C'est aussi une histoire de retrouvailles, de souvenirs, de peine et de joie, de déchéance et de réussite.
La montagne se dressait, surplombant les vallées et l’étendue d’eau à ses pieds. Son sommet semblait inaccessible, une couche épaisse de nuages rendait les hauteurs invisibles. D’en bas, on pouvait apercevoir les pentes recouvertes d’arbousiers, de charmes-houblons et d’autres buissons. À mesure que l’altitude augmentait, la brume avalait les conifères et les hêtres, laissant les marcheurs imaginer ce qui se cachait au-delà. Kasper grimpait le mont Olympe, le regard aspiré par la flore qui s’offrait à lui. Il se sentait devenir un élément de la nature et progressiv ...
La renaissance d’Athéna de Marie Tinet est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Utilisation commercial interdite - Modification interdite. Partage autorisé.
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@cestdoncvrai Merci beaucoup de relire ! Chouette pour le chap 1, je vais travailler les points que tu évoques pour le chapitre 2 🙂
Les descriptions ne te gênent pas ? Il y en a pas trop à ton goût ?
A bientôt !
Chapitre 3 :
J’ai un peu de mal avec la formulation des pensées.
Par exemple : « Elle observa l’homme à ses côtés. Pourquoi gravit-il la montagne ? se demanda Athéna »
Mon regard s’arrête au ? et je me dis « Il manque un truc. Il y a un problème de temps. Pourquoi gravissait-il la montagne ? » puis je reprend la lecture et je me dit « Ha ! D’accord, c’était ses pensées. »
Il manque une « signalétique » pour indiqué que ce n’est plus une phrase narrative.
+ Ici, on est du point de vue d’Athéna, grâce à la phrase précédente. Le mode « pensée » n’est peut-être pas nécessaire ?
Mais c’est tout ce que j’ai à dire 🙂 Bonne fin de chapitre qui donne envie de lire la suite 🙂
Chapitre 2 :
« serraient des pieds fins jusqu’aux chevilles » => j’aurais tendance à dire « ses pieds »
« Elle devait encore étudier, le randonneur lui imaginait déjà un avenir prometteur. » => j’ai dû relire deux fois, car je me suis demandé ce qu’elle devait encore étudier 🙂 Je n’ai pas l’habitude de voir ce verbe sans complément. La phrase n’est pas fausse en soi, c’est simplement inhabituel et ça me donne l’impression que la tournure est là pour éviter un verbe terne ^^ après, c’est juste mon avis. 😉
Sinon, encore de longues descriptions, très jolies ^^
Ce chapitre 1 se lit aussi bien que dans mes souvenirs 😉