Alors que sa voiture décide de le lâcher alors qu'il était en route pour rentrer chez lui, Joris voit un chemin apparaître sous ses yeux. Comme l'endroit est désert, il décide de suivre cette direction afin de trouver de l'aide. Au bout de ce chemin, il tombe sur un étrange village et son arrivée va provoquer un bon nombre de bouleversement dans sa vie.
Il est sept heures du matin à la montre que porte Joris, à son poignet gauche. Ce grand garçon de presque un mètre quatre-vingt soupir et tandis que le jour commence à pointer à l’horizon, le jeune majeur râle. En effet, sa voiture vient tout juste de le lâcher sur une vulgaire route de campagne. Courageux, le garçon aux cheveux noirs et aux yeux marron n’a pas hésité une seule seconde à mettre ses mains sous le capot dans l’espoir de trouver l’origine de la panne. Au bout de plusieurs minutes, l’homme abandonne. Découragé, le conducteur lève la tête et regarde auto ...
Le protecteur de déesse – Les territoires du Centre. de jaysher est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Utilisation commercial interdite - Modification interdite. Partage autorisé.
Un commentaire Ajouter le votre
Comme promis, je me suis attaqué à cette oeuvre. J’ai lu les deux premiers chapitres.
Cela se voit que tu n’aimes pas les descriptions en effet, je le ressens ainsi peut-être parce que je le savais avant mais elles semblent forcées. Tu te focalises beaucoup sur la couleur des cheveux ou des yeux. Je ne suis pas à l’aise non plus avec les descriptions en tant qu’auteur, le truc qui m’aide et que j’utilise depuis peu est de chercher une photo dans Google Images pour illustrer chaque perso. Que ce soit une personnalité ou un quidam. Cela permet de varier les éléments à décrire et aussi pour parler des tenues des gens, auxquelles je ne fais pas hyper attention. A voir si ça te conviendrait.
Au premier paragraphe, Joris a droit à une pelletée de qualificatifs en cinq lignes : Ce grand garçon de presque un mètre quatre-vingt, le jeune majeur, le garçon aux cheveux noirs et aux yeux marron, l’homme. Un peu too much à mon goût, on dirait qu’ils sont plusieurs.
De manière générale, les nombreux changements de point de vue me perturbent. Le focus passe d’un personnage à un autre très rapidement, sans que cela soit marqué visuellement dans le texte. Cela fait penser à un découpage cinématographique, mais tel que c’est fait cela m’empêche de bien entrer dans l’histoire.
Un extrait : « En face du bar se situe une petite clinique devant laquelle sont rassemblées plusieurs personnes. L’une d’entre elle se nomme Maria ». L’info est donnée trop brutalement pour moi. Cela me donne la sensation que tu m’expliques plus ton histoire que tu ne me la racontes. Je préfèrerai que ce soit plus mis en scène.
Pour la scène dans l’église, le nom de Ben tombe de la même manière assez brutalement et le fait que son interlocutrice soit « sa jeune amie » également.
Plus loin, je ne comprends pas l’attitude de Joris. Il a un chemin qui apparaît mystérieusement, avec un village entier et il passe la nuit peinard sur place sans se poser de questions, tout en faisant ami-ami avec un local ?
Voilà, le fond m’intéresse mais la forme me gêne actuellement.