Je tombe par terre. Je ne sais pas où je suis, mais je vomis. J’ai la boule au ventre. J’ai mal partout.
– Sophie, c’est toi ?
J’ouvre les yeux, je vois quelqu’un. Je suis engloutie dans la boue je sens mon vomit. Il m’aide à me relever, je ne suis pas très en forme. À plusieurs reprise je tombe.
– Tu me reconnais pas ?
J’attends a peine sa voix, et j’arrive très peu a le voir. Où sont ils Toris, Kyle et Nuz ? Je vomis, encore une fois, c’est violent ! Il arrive a peine a me tenir. Mais il réussit a ramener chez lui. Après avoir passé la porte de la maison, je perds connaissance. Je fais des cauchemars de mes parents. C’est horrible ! Je n’arrive pas à me sortir de là. Je me réveille en sursaut. Je suis trempée de sueur Apparemment je suis couché quelques part. Je crache de nouveau, heureusement il avait une bassine à côté de moi.
– Fañch qu’est ce que tu fais là ?
– Mais c’est a toi me le dire, tu es dans ma maison.
Fañch est un ami que je me suis fait, quand je viens en vacance ici. On se connait bien a force. Il a les cheveux long brun et bouclés. Ses yeux sont vert turquoise. Il a le même âge de moi, mais parait plus vieux.
– Je peux pas tout t’expliquer maintenant, c’est compliqué. Surtout dans mon état.
– Je te comprend, guéri vite. Et j’ai trouver ça par terre.
Il me montre l’amulette, je la pris.
– Elle très jolies, tu l’a eu comment ?
– C’est un cadeau d’anniversaire de mon père.
– Tu est venue seule ? Ne n’ai vue personnes avec toi. Est-il arrivé un malheur a tes parents.
Le silence apparait, on dirait que ca fait trois jours que mes parents sont mort, mais en réalité cela plusieurs mois.
– Tu n’es pas au courant du raz-de-marée, il y a quelques mois?
Il comprit que sont devenu mes parents, ils se sont noyés dans la mer.
– Toi tu était où ? Comment tu a survécu ?
– J’étais chez…
Un autre vomissement, je ne comprends pas. Je n’ai pas mangé, et je vomis sans cesse. J’attends les pas de la mère de Fañch, Alwena, venue voir comment je vais.
– Laisse la un peu tranquille, elle doit se reposer, ordonna-t-elle a Fañch. Tu étais très mal en point hier. Et là, je vois que ça va mieux.
– C’est vite dit, j’ai toujours mal partout, et envie vomir tout le temps, c’est horrible !
– Pourquoi tu es dans cet état ?
– Je ne sais pas, j’étais avec trois autres personnes, Kyle, Toris et Nuz. Il faut les trouver, je t’en supplie.
– Mais d’habitude ce n’est pas a cette date que tu viens ici en vacances, informa Alwena.
– Je ne suis pas en vacances, je suis… Je dois aller en Brocéliande… Pour rendre mon amulette a quelqu’un…
J’hésite a leur dire la vérité, c’est vrai deque ce n’est pas courant une histoire avec des vampires. Quand Kyle sera la, on dira la vérité. Ça me fait du mal de parler de mes parents. Fañch explique un peu la situation a sa mère, pour mes parents et pour le raz-de-marée. Alwena descendit me préparer une infusion. Fañch partit avec qu’elle. Où sont les amis ? Je laisse couler des larmes. Entre temps je vomis, ce qui est désagréable. J’ai l’impression de perdre la graisse. C’est horrible ! La bassine est pleine, il y a du vomit par terre. Cela pue, et c’est désagréable. La jeune femme revient.
– Je suis désoler !
– Tu n’est pas de ta faute, ma chérie. Tiens bois cela fera du bien.
Aussi bu, aussi recraché. Alwena nettoie le sol, et va chercher de quoi manger. Je dois manger… Elle revient quelques minutes. Entre temps, j’ai vomis pas mal de chose. Je mange le pain moelleux d’Alwena. Même chose pour l’infusion, mais en pire ! J’ai l’impression que mon corps ne veut rien. Je sombre dans le sommeil. Je pense à Toris. Où tu es? Ne me laisse pas… Je me fais réveiller par un autre vomissement. Mon état n’a pas évolué, peut être en pire car j’ai encore plus mal. C’est la troisième journée que je suis suis au lit, je n’arrive plus à bouger. De toute façon j’ai bien trop mal pour faire quoi que soit. Alwena a appelé le docteur car elle n’aime pas me voir quand cette état. Il me regarde, je n’ai pas de fièvre.
– Si elle recrache tout, il faut mettre le produit directement l’intérieur de son corps.
Ce n’est pas une mauvaise idée. Il essaye avec une piqûre. Il m’injecte le produit par une seringue. Mais au bout de quelque minutes, mon ventre s’est mis en action, il me fait mal. Et après, un déluges de vomissement dure de longues minutes. C’est horrible. J’en ai marre !
– La seule solution s’est de le emmener a l’hôpital, informa le docteur sans s’affoler.
– Non!!! cris-je. Je ne veux pas y aller. Alwena, je te supplie, je veux rester ici.
Je regarde la mère de Fañch, elle a l’air déséspérée. Elle ne sait pas quoi faire. Je lui fait un signe de la tête.
– Partez, vous ne serez plus d’aucune utilité ici.
Le docteur furieux partit en claquant la porte.
Quelques instant plus tard, on toque a la porte. Alwena va ouvrir, mais Fañch le fait en premier. Je reconnu de suite la voix de Toris et de Kyle. Ils s’empressent de venir vers moi. Kyle raconte ce qui ses passé a la mère et à Fañch. Alors que Toris que me raviver de joie de bonne humeur. Je pleure tellement je suis trop content de la voir. J’ai l’impression de revivre, jusqu’à ce qu’un vomissement me bouleverse.
– C’est que je craignais.
– C’est grave?voulut savoir Fañch.
– On peut rien faire… Soupire Kyle.
J’avais a peine entendu la conversation que je m’évanouis. Je me réveille dans la nuit, c’est le quatrième jour, et je veux que cela s’arrête. Je vomir de plus en plus et plus péniblement. Il y a personne dans la pièce où je dors. J’appelle quelqu’un… Toris arrive, elle est belle avec sa petite robe de nuit blanche.
– Reste avec moi, seule toi peut me faire du bien.
– Je ne te quitte pas des yeux, je n’aime pas quand tu souffre, me sourit ma meilleur amie.
Elle me touche mes cheveux comme signe d’affection. Je suis contente qu’elle soit lever pour moi. Je peux dormir sereinement, malgré mes vomissement. L’aube se lève, Toris est toujours en train de me fixer des yeux. Kyle vient me voir.
– Sophie soit forte, demain sa sera terminé, courage !
– Dit-moi ce qui se passe.
– Tu vomis, pour que tu corps soit apte a la transformation pour devenir un elfe.
Je garde le silence, ce n’est pas une mince affaire de devenir un elfe dis donc. Heureusement que c’est le dernier jour car cela augmente de jour en jour. Pourquoi on ne me l’a pas dit plutôt? J’ai faim et soif, mais je peux rien avaler. Cela me fait souffrir. Je vais tenir le coup. La journée se passe bien, elle n’a pas empiré. Je n’ai pas dormis de la nuit, Toris non plus, elle est resté avec moi. Le lendemain, tout va merveille, je n’ai plus mal, je n’ai plus envie de vomir, je n’ai plus faim. Je suis trop contente ! Je me lève, je me regarde dans le miroir, cela se voit a l’oeil nu que j’ai mincis. Je suis très mince, je crois plus mince que Toris.
– Toris, regarde moi ça. Je suis mince, il y a toujours des imperfections mais cela je m’en fou. Je tourne pour lui montrer.
– Habilles-toi, je ne pense pas qu’Alwena appréciera que tu sois nue chez elle.
– Tu as raison, où les habits ?
– Ici, Alwena ta gentiment offert ses habits.
Ma compagne de chambre me montre les vêtements. Elle descend pour aller dans la cuisine. Moi je les enfile. C’est du linge tout simple, un débardeur et un pantalon. Je me regarde une dernière fois dans le miroir. Je suis mince ! C’est un rêve depuis mon adolescence de mincir. Avant j’étais un peu ronde comme qui dirait maman. Je descend et je redécouvre la maison de Fañch. C’est une maison typique bretonne. Elle a un étage, et elle est très grande.
– Bonjour Sophie, sa va mieux ? Se demanda Alwena.
– Je vais super bien, et trop contente d’avoir mincis. Regarde.
Elle est bluffé, il y a quatre jour, j’avais des contours, là plus rien.
– Qu’est ce tu veux manger ? Et si tes vêtement ne te conviennent pas, j’en plein d’autre.
– Oui mon pantalon tombe. Non je rigole.
Et tout le monde se mettent a rire. Moi je commence a manger. Je prend du pain et de la confiture, c’est suffisant pour combler ma faim.
– D’habitude tu mange plus, plaisante Fañch.
– Oui je mange, mais là mon esprit m’empêche.
– Bon, moi je vais prend l’air, j’en ai prend besoin.
– Ce n’est pas un temps pour sortir, m’informe Alwena.
– Pas grave.

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