Perséphone est une colonie humaine comme tant d'autres dans la galaxie, soumise au diktat et aux quotas imposés par l'omnipotente compagnie. La vie y est rude et l'existence précaire. Mais la découverte d'un tunnel artificiel et très ancien va marquer le début du changement pour l'humanité tout entière.
Il était une fois une colonie. Elle n’était ni prospère ni jolie, mais elle était le seul espoir de ceux qui y vivaient. Ils avaient tout quitté, tout laissé derrière eux, ne conservant que des souvenirs de leurs anciennes vies. Mais l’espoir était encore loin, très loin devant. La colonie ne serait autonome que quand elle aurait remboursé la dette colossale qu’elle devait à la Compagnie, une dette contractée dès que le premier trait de crayon fut tracé sur les plans d’un architecte, lui aussi au service de l’omnipotente Compagnie. Elle ne serait effacée que dans tr ...
Règlement de contes sur Perséphone de Luc Bertocci est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Utilisation commercial interdite - Modification interdite. Partage autorisé.
2 commentaires Ajouter le votre
Merci Gilles d’avoir pris la peine de lire et de commenter. Merci également pour cette critique constructive. Effectivement, je vais me replonger dans la correction, je vois qu’il y a encore du boulot !
La réaction du mineur, je pense, se justifie par l’urgence et le danger envers ses camarades qu’il ressent lors de l’arrivée du détachement armé. Je t’accorde qu’il n’est pas très gentleman sur ce coup.
En revanche, une société privée capable de faire cela… je dirai simplement que si ce n’est pas encore le cas (quoique….) on n’en est vraiment pas loin. Quand les gouvernements feront banqueroutes et les institutions nationales entièrement financées par des fonds privés, on en reparlera.
En tout cas sincèrement merci !
Salut. J’ai tout lu et j’avoue que je suis un peu mitigé sur ton récit. Plusieurs choses me gênent en fait.
D’un sentiment général sur l’ensemble, c’est assez soigné, même si j’ai repéré quelques erreurs de grammaire ou de conjugaison qui pourraient être corrigées après une bonne relecture à tête reposée. Cependant, les phrases manquent un peu de punch. Vers le début, on a même une structure qui se répète plusieurs fois (virgule suivie d’un « et ») sans justification réelle.
Ensuite, il y a la réaction de certains personnages. Par exemple, le mineur qui accueille Lana et sa fille et les accompagne jusqu’au tunnel… Et les laisse y aller toutes seules. Ca me paraît un peu trop, et ça n’embête personne.
Aussi, avec la Compagnie… C’est ton monde évidemment, mais j’ai peine à croire qu’une société privée puisse abattre arbitrairement des gens comme ça (et avec l’aide des marines en plus) sans que personne ne réagisse…
Enfin, bref. Tout ça pour dire que je suis mitigé, parce que l’histoire en elle-même a le mérite d’être intéressante.