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Loading...[Furie - Partie 1] 2013. Léa est une étudiante en sociologie qui s'emmerde. Jean essaie de s'en sortir, mais s'éclate pas tellement non plus. Un jour, ils veulent s'acheter un sex-toy, mais ils n'ont pas la tune. Alors ils vont tout faire exploser. (Ceci n'est pas une histoire de science-fiction. Pas encore. Mais ça va pas tarder ^^)
“- Fait chaud, tu trouves pas ?” La fille détourna la tête de ses fiches de révision et regarda le type qui glandait sur le lit, au fond de la chambre. Il avait la tête plongée dans l’écran, les mains tenant sa manette de Playstation comme des crochets. On entendait les hurlements de la foule numérique qui saluait un but d’Ibrahimovic. Lui n’entendait rien. Une cigarette se consumait lentement dans sa main droite. Pas tiré une latte depuis cinq minutes, la cendre menaçait de céder. Elle reprit. “Avec toutes cette pluie, on pourrait au moins croire qu’on respirerai ...
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Tellyon
2 commentaires Ajouter le votre
Merci pour le commentaire Jasper.
Je ne peux pas dire pourquoi cette nouvelle manque de « but » en soit, à part peut-être parce qu’elle a été écrite dans un contexte de « nique la SF, j’ai ai marre, jvais faire du réaliste pour changer ! » (Au final c’est quand même devenu de la SF ensuite, mais c’était pas prévu. Par contre, si ça te plaît suffisamment, je serai curieux de savoir si le ressenti est le même pour les histoires suivantes. Histoire de savoir si c’est un trait à corriger ou seulement mon inadaptation à cet univers.
Rapport au Tsuki/Zuki : lorsque je faisais du Shotokan moi-même, j’ai tout appris à l’oral, donc il a fallu demander à l’Internet pour l’orthographe. Google dit Zuki, Wikipédia Tsuki… Difficile de se décider. Faut dire que ça doit pas être facile de transcrire des noms japonais en caractères romains.
J’ai lu les deux premiers chapitres et je suis embêté. Je lis l’histoire de Léa. Ok. C’est bien écrit, bien décrit, je visualise très bien les personnages, les lieux, la psychologie de chacun, tout ça. Mais pourquoi est-ce que je lis ça ? Je n’ai pas d’indice sur le genre d’histoire que je lis et ça m’embête.
Si ce n’était pas aussi bien écrit, j’aurai déjà lâché. Là, j’ai regardé les chapitres suivants en diagonale pour voir si ça valait le coup de poursuivre. Apparemment, ça va pas trop tarder à péter, donc je vais continuer, mais je tenais à partager ça.
Et, sinon, l’anecdote à la con : première fois que je lis Zuki pour les coups de poing en Shotokan (que je pratiquais), j’ai toujours vu Tsuki. Mais je ne suis pas assez calé en japonais pour dire si c’est une erreur ou pas 🙂